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Dauphine bat Science Po 37-5
Lundi 18 janvier, Dauphine bat Science Po 37-5
Fort de sa récente victoire contre Centrale, Dauphine se présente comme le grandissime favori de cette rencontre face à la lanterne rouge du championnat, l’équipe de science po. C’est un terrain boueux et mal éclairé que découvrent nos gars, pour jouer leur deuxième match en 4 jours, et ce, pour la première fois de la saison en nocturne. A peine le temps de s’échauffer que l’arbitre appelle les deux équipes pour le coup d’envoi.
La première mi-temps commence sous les meilleurs hospices puisqu’après à peine deux minutes de jeu, la troisième ligne gratte le ballon dans le ruck pour transmettre à abboud qui se faufile entre les défenseurs pour inscrire le premier essai du match. Cependant, Dauphine joue par à coups, a du mal à aligner les temps de jeu et marque le plus clair de ses points sur des exploits individuels.
A la mi-temps, nous menons déjà 5 essais à 0, bien aidé il est vrai par la naïveté défensive de nos adversaires.
Dès le début de la seconde période, une avalanche de blessures vient bousculer les plans de jeu. Galaup, puis Benoit, puis Rodrigue se blessent tour à tour ce qui contraint Benyat à passer au centre.
Dauphine, peut être en mal de motivation, se met à commettre davantage d’indiscipline, si bien qu’Amberg écope d’un carton blanc pour accumulation de fautes. Le jeu devient de plus en plus brouillon, notamment lorsqu’une bagarre est déclenchée dans nos 22m, qui permet à science po d’inscrire son unique essai.
Heureusement, Dauphine se reprend en fin de match par Fagu qui se rappelle au bon souvenir de ses co-équipiers de l’an dernier, en inscrivant le dernier essai du match.
Dauphine gagne sans convaincre malgré ce large score, contre une équipe de science po un peu tendre, et doit soigner ses blessés en attendant les échéances qui s’annoncent. L’équipe est plus que jamais en lice pour le titre de champion d’Ile de France !
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Dauphine bat Polytechnique 29-8
A Suresnes, Jeudi 10 décembre 2009, Dauphine bat Polytechnique 29-8 (12-3)
Forts de déjà trois victoires bonifiées, les dauphinois s’avançaient confiants devant la quatrième marche du long escalier devant les mener à l’objectif suprême. Cette confiance a d’ailleurs semblé les rendre aveugles. Arrivés très tôt au stade, ils s’éparpillaient déjà, oubliant de rentrer dans le match, tant et si bien qu’au moment du coup d’envoi ils se firent surprendre. En effet, les rouges et jaunes n’étaient pas venus en victimes expiatoires et ont fait valoir dès l’entame du match de sérieux arguments. En monopolisant la balle grâce à un travail au sol des plus efficaces et en jouant tous les coups des quatre coins du terrain, ces inépuisables « futurs PDG » auraient mérité un bien meilleur sort à l’entracte. Les dauphinois, pourtant, menaient 12 à 3 grâce à deux éclairs de génie de leur trois quart, à la suite tout d’abord d’un turn-over sur leur ligne des quarante, bonifié par Descoubes et transformé en or par Abboud, qui, d’un dernier crochet après 60 mètres de course, marquait le premier essai du match. Le deuxième fut conclu par Galaup tout en vitesse après une belle action dans la défense. Ce ne furent pas les seules opportunités dauphinoises puisque leurs individualités leur ont permis d’exister quand l’X montrait de formidables valeurs collectives, sans pour autant se créer de réelles occasions d’essai. Toutefois, le match promettait d’être long pour des dauphinois à la peine physiquement.
A la mi-temps, quelque chose devait changer. Après un discours plus que teinté d’insatisfaction, les roses et bleus sont repartis avec d’autres intentions pour justifier leur statut de leaders. En 15 minutes, ils ont semblé remettre les pendules à l’heure en s’envoyant un peu plus physiquement en attaque comme en défense (énorme tampon de Rodrigue sur son vis-à-vis) et en inscrivant trois essais, d’abord sur une coquine conclue en finesse par le quintal de Monguillon (qui a peut être vécu là sa dernière combinaison dans l’alignement…) puis grâce à une belle pression défensive de Bourgine et Bayvet qui, acculant leurs adversaires dans leur en-but ont permis à Pilou de contrer un dégagement et de s’affaler sur la gonfle qui n’attendait que ça. Enfin, le récital dauphinois se terminait sur une action au large concluant une belle récupération de l’omniprésent Bourgine. C’est Pierre-Alain qui finissait le travail à l’interieur de son premier centre.
Malheureusement le match n’était pas terminé. Et si le score était maintenant de 29-3 et cinq essais à zéro, les polytechniciens n’ont pas abdiqué et ont mis au supplice la défense des roses pendant toute la fin de la partie. Plus fort physiquement et sans doute plus volontaires, ils ont enchainé les actions de grande envergure pour finalement passer la ligne en force. S’ils ne l’ont franchie qu’une fois, c’est sans doute plus du à leur maladresse qu’à la solidité défensive des dauphinois même si ces derniers n’ont rien lâché pour préserver leur bonus offensif.
Dauphine reste donc invaincue et termine ce match largement en tête. Pourtant, il s’est montré révélateur des forces et des faiblesses de l’équipe. De grosse individualités mais parfois la tête ailleurs. Je ne doute pas que dorénavant, nous saurons rentrer dans nos matches avec un tout autre état d’esprit pour imposer notre jeu et se faire plaisir pendant 80 minutes. Ce match servira donc de leçon et nous invite à nous méfier de tous nos adversaires. A commencer par jeudi prochain. Nous devons terminer l’année invaincus pour espérer figurer parmi les meilleurs en janvier. Messieurs, la balle est entre nos mains !
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A suresnes, Dauphine bat ESO 18-0 (3-0)
Après la belle victoire de la semaine dernière face à une modeste équipe de l’ESSEC, les dauphinois allaient devoir affronter une équipe d’un tout autre calibre qui, malgré deux défaites en deux matchs depuis le début de la saison, jouit toujours d’une certaine aura en IDF depuis son titre de champion de France conquis il y a deux ans pour sa première saison au plus haut niveau. Ce test s’annonçait donc logiquement plus compliqué à gérer pour des joueurs inquiets après le piètre entrainement de lundi dernier et l’absence de deux pièce maitresses dans l’effectif (Pierre Alain Vinçon et Eliott Coti). Mais la motivation était là pour le premier match à domicile sur le magnifique terrain de Suresnes.
La première mi-temps plutôt équilibrée, tant au niveau de la possession et des occasions d’essai que des fautes de main et autres mauvais choix. Les deux équipes sont très solides et l’engagement est féroce. Les deux packs se neutralisent malgré les 200 kilos d’au moins trois masseurs. Dauphine finit malgré tout par ouvrir la marque grâce à son buteur, pour une fois en réussite, face aux poteaux. Le tournant du match se situe peut-être peu avant la mi-temps, quand les joueurs de l’ESO se sont écroulés dans l’en-but dauphinois mais qui n’ont pas vu leurs efforts récompensés puisque l’arbitre n’accordera pas un essai qui semblait valable. Finalement, le score n’évoluera plus jusqu’au repos.
Au retour des vestiaires, la physionomie du match n’est plus la même. Les intentions dauphinoises ont raison du jeu limité de l’ESO et les occasions se multiplient pour les bleues et roses qui franchiront par deux fois la ligne d’en but. La première réalisation est un modèle du genre : après un départ de Cochon derrière sa mêlée, Bourgine est au relais et transmet après contact à son ouvreur Benoit qui alerte Zucho. Ce dernier pense sans doute pouvoir faire la différence seul mais sera repris à un mètre de la ligne. Le soutien est là et Benat peut écarter même sens et Chenevet applatit en coin. Superbe. Et quel soulagement pour les Dauphinois qui, bien que dominateurs, ne parvenaient pas à scorer. Le deuxième essai arriva à dix minutes de la fin quand Monguillon en position d’ouvreur envoya Abboud dans un boulevard qui, on sait maintenant qu’il en est capable, négocia parfaitement un 5 contre 1 pour que Cochon s’envole vers la terre promise. A cet instant, le match était plié mais les dauphinois se sont accrochés jusqu’au bout pour préserver leur ligne inviolée lors du dernier baroud d’honneur des visiteurs.
Cette victoire fût belle et les joueurs peuvent être fiers de leur prestation tout en gardant en tête leur objectif suprême. La réception de l’ESCP s’annonce d’autant plus compliquée que 5 joueurs de l’équipe fanion sont en quarantaine après avoir contracté le virus H1N1. Il est amusant de noter que Cochon a attrapé la porcine. Peut-être serait-il plus logique de ne pas jouer ce match. Réponse dans les heures qui viennent.
Je tiens à reprendre ma plume pour réparer un oubli malheureux dans ce résumé. En effet, le petit monde du rugby universitaire a découvert ce jeudi un joyau jusque là bridé par un mauvais positionnement au sein de l'effectif dauphinois.
Rentré à l'aile (pas celle de la troisième ligne) à 15 minutes du terme de la rencontre, Stéphane Amberg a fait preuve d'une solidité sans faille, rentrant sans attendre dans son nouveau rôle. Placement, courses rageuses mais toujours maitrisées, soutien, motivation... Son entrée a transformé les bleus et roses. Sur son premier ballon, il avance de 30 metres et se retourne après un raffut pour assurer la continuité de l'action, sans passer par le sol puisqu'il considère cela comme un accident de jeu, presque une hérésie. D'ailleurs, il n'est pas étranger au deuxième essai dauphinois puisque c'est lui qui assure le soutien au sol et sécurise un ballon qui s'avèrera gagnant.
Le comble de la classe apparaitra deux jours plus tard, puisque sa rentrée à l'aile lui évite même d'être contaminé par le virus qui frappe actuellement le paquet d'avant.
Bravo Monsieur, à toi maintenant les touchers du vendredi et autres 3 contre 2 du lundi, finis les portés en touche interminables et les mauls usants.
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Jeudi 3 décembre, stade BARRAN (Athis Mons), Dauphine bat ENSTA (47-0)
Après deux victoires convaincantes face à l’ESSEC et l’ESO, Dauphine se déplace à Athis Mons, au fin fond du 91, pour affronter l’ENSTA, une école d’ingénieur fraichement promue dans notre championnat. Il fait froid, il pleut, il vente, le terrain est boueux, bref on s’attend à un jeu serré dans le petit périmètre, d’autant plus que l’adversaire est doté quelques gros gabarits.
Cependant dès les premières minutes, l’équipe de l’ENSTA s’échine à relancer et à écarter les ballons contrairement aux dauphinois qui se contentent d’utiliser le jeu au pied et le jeu à une passe, dans la zone proche. Ainsi, après un début de match poussif et plusieurs actions avortées, Dauphine ouvre enfin la marque après 20 bonnes minutes de jeu, sur un mouvement collectif des avants. Le déclic se produit et Dauphine marque à nouveau quelques instants plus tard ce qui a le don d’énerver le capitaine adverse. Le rouleau compresseur dauphinois se met en marche tandis que les adversaires baissent les bras et multiplient les maladresses, que ce soit à la main ou au pied.
La seconde mi-temps n’est autre que le reflet de la première. Le vent devient favorable à Dauphine, et les dauphinois se régalent d’aller jouer dans le camp de l’adversaire. Benoit se permet même une passe au pied dans les 22 que Chenevet récupère de justesse, puis aplatit. On en est déjà à 35-0.
Sur le coup de renvoi, c’est Leblanc qui réceptionne le ballon : il fait une percée de 20 mètres malgré son « physique de mouette » dixit l’entraineur enstasien. Dauphine s’envole vers la victoire (un peu facile mais il fallait la faire) et marque encore deux essais en fin de match ce qui fait 47-0.
Le contrat est pleinement rempli, à nous polytechnique !
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Dauphine Bat ESSEC 36-5
Jeudi 12 Novembre, stade de la porte d’Ivry (Georges Carpentier), Dauphine Bat ESSEC 36-5 (29-0)
Temps frais et sec, terrain…bizarre.
30 spectateurs environ
Après l’annulation pour d’obscures raisons de ce qui était déjà présenté comme le choc de la saison entre Dauphine et Centrale, et celle, plus compréhensible, du match ESSEC-Polytechnique (l’arbitre ne s’est pas présenté), les deux équipes arrivaient en quête de certitudes et cette rencontre s’annonçait donc comme le premier vrai test de l’année. J’en veux pour preuve l’atmosphère tendue qui régnait porte Dauphine depuis le début de la semaine et qui avait fait le déplacement avec la plupart des joueurs de l’effectif pour ne disparaître qu’au coup d’envoi. Mais si dans les rangs dauphinois la pression semblait forte, c’est surtout parce que l’équipe s’était préparée avec rigueur et acharnement depuis plus d’un mois et demi et que malgré une certaine confiance, légitime au vu de l’effectif, rien ne vaut la vérité du terrain.
Après un échauffement sérieux mais bref en raison d’un accident malheureux sur le boulevard périphérique, les joueurs, avec une motivation sans faille, sont partis au combat. Tout s’est alors déroulé à la hauteur des espérances de toute une université, après une première mi-temps de rêve ponctuée de 5 essais, le score à la pause était déjà de 29 unités à 0. Grâce à des avants solides et plus déterminés que jamais et une ligne d’attaque à qui tout réussissait, les dauphinois se sont vite mis à l’abri. Abboud par trois fois, Benoît une fois, et enfin Coti ont enfilé les points tels des perles. Un point commun à au moins 4 de ces réalisations, qui atteste du formidable travail effectué par les joueurs et les coachs : elles sont le résultat d’attaques en première main. Après les mêlées ou les touches les bleus se sont montrés d’une efficacité diabolique. Les regards perdus et surpris des joueurs blancs et noirs en disaient long sur leur impuissance.
Comment alors en vouloir aux joueurs de la porte Dauphine qui ont ensuite semblé baisser de rythme ? La deuxième mi-temps fut un mélange de fatigue bleue et d’orgueil noir. Les premiers ont encore inscrit un essai par leur finisseur hors pair Abboud mais se sont ensuite montré extrêmement indisciplinés (un carton blanc et un carton jaune), voire désorganisés face à la réaction de l’ESSEC qui a finalement sauvé son honneur grâce à son arrière.
La joie dans le vestiaire Dauphinois fut à la hauteur du soulagement que ce premier match a apporté. Tout n’a pas été parfait, loin de là, mais les joueurs savent maintenant ce qui leur reste à travailler pour prolonger cette belle dynamique. L’ESSEC est peut être tombée sur une des meilleures équipes que Dauphine a eu ces cinq dernières années et n’a pas à rougir de sa défaite.
Notons enfin que les Dauphinois ont pris leur revanche sur ceux qui les avaient plongé dans une spirale infernale lors de l’ouverture de l’exercice précédent en les crucifiant à la 86eme minute d’un match que les bleus avaient pourtant largement dominé. Les blancs et noirs, eux, s’étaient qualifié pour le championnat de France. Espérons que ce sont cette année les Dauphinois qui gouteront à un tel bonheur.
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Résumé Match Dauphine vs X
Premiere victoire avec les tripes
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Voici le résumé du premier match de la saison 2006/2007...
Résumé Dauphine vs ESCP-EAP
2eme victoire face a l'autre promu
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Le bureau est bien décidé a vous offrir un résumé pour chaque rencontre de l'équipe 1. Deuxieme épisode de la saison...
22-06-2025
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